Vous l'aurez compris, j'aime les voyages et j'ADORE les langues: je tiens donc à ce que ce blog soit rédigé minimum en trois langues, voire quatre: celle de Molière, celle de Shakespeare, celle de Zorro et pourquoi pas celle de Rocco Siffredi!

3.3.11

Tazmania

Hop ! Un petit saut de deux semaines. Oui je suis encore vivante et je suis terriblement en retard. Je vais essayer de combler ce retard et tenter de mettre le maximum de photos. Il va aussi falloir que je m’attèle à la tâche difficile d’écrire des posts en anglais, en espagnol et en italien.
Flashback en arrière donc, avec le récit de ma deuxième semaine à Melbourne et de mon court voyage en Tasmanie.


Samedi 19 février

Aujourd’hui festival italien à Fitzroy, pourquoi pas, allez on y go, Josh m’y emmène. Arrivé sur place, il réalise que c’est seulement la semaine prochaine. Tant pis on se ballade, puis je l’accompagne à St-Kilda, rue marchande très animée, vendeurs de glaces et un arsenal de pâtisseries.  Surtout ne pas s’arrêter, résister à la tentation… De toute façon on reste congelé sur place lorsque l’on voit les prix. Not affordable… Pourquoi la vie est si chère ici ??

Puis on fini par se séparer et je rejoins Adam, que j’appelle désormais Bertie, nom tiré du film The King of Speech, avec Colin Firth et Geoffrey Rush, très très bon (a quand même gagné des oscars), que l’on a été voir au ciné quelques jours plus tôt. On se retrouve dans un bar à St-Kilda où il me présente son meilleur ami, Chris, très marrant aussi, et nous savourons une grande carafe de bière, ainsi qu’un poulet à la parmesane car il est quand même deux ou trois heures de l’aprèm. Les Australiens mangent très tôt le soir, vers 18h-19H, faut s’habituer. Relax. Chillax comme ils disent. J’ai alors un premier aperçu du slang australien : blokes, sheilas, captain’ cook, grouse, n’ shit…

Puis on se rend à ma première garden party. Un jardin en arrière-cour, un auvent, des groupes de musique amateurs qui se succèdent toute la soirée et bien sûr, de la bière !! Un peu surprise au début, musique metal à plein volume, dur de tenir une conversation. J’ai apprécié l’ambiance et pris mes premières couleurs.


Dimanche 20 février

Marché aux puces de nouveau, puis musique Live au Gypsy Bar, dans Fitzroy avec Adam, Josh et ses amis, couchsurfers français qui ont traversé l’Europe, l’Asie et sont en route pour l’Amérique Latine. Rapskallion est sur scène, musique gitane avec des airs entraînants. C’est le groupe préféré de Josh. Le leader du groupe ressemble trait pour trait à Jack Sparrow, et Josh en a des airs. Retour au bercail tôt car demain c’est le grand jour : départ pour la Tasmanie.


Lundi 21 février

Après deux semaines passées à Melbourne avec Alberto et Josh, je prends le ferry pour la Tasmanie. Fini l’univers protecteur et rassurant de la maison, l’inconnu revient au galop.

5h30 Il est tôt et j’hésite à me lever. Joshua me conduit au ferry.
9H Petit spleen au moment de quitter le port. Il fait plutôt froid mais la mer semble calme. Grosse erreur. Après une demi-heure de traversée on nous annonce que la ver va être agitée. Tu parles. Impossible de se déplacer dans le bateau sans glisser ou tomber. Après avoir vomi deux fois (adieu mon demi-paquet de Tim-Tam), j’ai décidé que le mieux était de m’asseoir et de ne plus bouger. Entre-temps j’avais rencontré les seuls français du bateau, très facilement reconnaissable, à leur allure et bien sûr à leur impeccable français : Medhi et Adrien, deux vendéens. Les neuf heures de traversée sont loooongues. Plus jamais ça !

Josh

Ferry Spirit of Tasmania I


18H Arrivée à Devonport. Coup de chance, l’auberge de jeunesse que je n’avais pas réservée et qui peut loger douze personnes, a encore deux places et se trouve à 200m du ferry. Une aubaine. 24$ la nuit. The Gingerbread House, « la maison de pain d’épice ». Une maison à étages, toute droit sortie d’un conte de fées, avec Jacques au haricot magique, un restaurant, un grand jardin, une fontaine, et des vélos à disposition. Et puis, Internet en Wi-Fi. Et là gros malaise : comment ai-je pu être assez stupide pour penser que c’était mieux de laisser mon ordinateur à Melbourne ? Pas de moyen de contacter des adresses pour voir s’il y a du boulot. Quelle andouille !  Après m’être maudite plusieurs fois je décide de changer mes plans, je ne travaillerai qu’en rentrant à Melbourne. Le soir tout est fermé dans cette petite ville et je finis par tomber nez-à-nez avec les français, qui sont maintenant quatre, deux filles s’étant jointes à eux, et l’on décide de se faire une pizza, que l’on partagera dehors, dans le froid de la nuit tombante.

The Gingerbread House



Mardi 22 février

7H Lever très tôt après une bonne nuit à la maison du pain d’épices. Je pars à jeun pour le centre-ville, qui est en fait à trois quart d’heures à pied. Je vous explique : Devonport est minuscule mais est séparé par un fleuve. En général ça ne pose pas de problème. Sauf que j’étais du côté est, et que le centre-ville était du côté ouest. Hors il y a seulement un pont pour se rendre de l’autre côté, qui se trouve à deux ou trois kilomètres du port. Ca doit être énervant à la longue. Il y a un ferry mais la traversée coûte 6$... J’essaie d’économiser et je pars sur mes petites pattes. Premier souvlaki dans un café de la ville. Je n’avais jamais goûté, c’est grec et ça ressemble drôlement à un kebab. I love ! Puis direction la banque, où je tente de faire un transfert de mon compte courant français vers mon compte courant australien. Dur… Après avoir décidé la veille de partir en excursion pour Cradle Mountain avec les filles, il s’avère que leur van est pour seulement deux personnes et qu’elles ne veulent pas prendre le risque de se faire arrêter avec moi dedans à l’arrière. Le seul bus journalier pour Cradle est déjà passé et il ne me reste plus qu’à réserver une autre nuit à l’auberge de jeunesse et passer la journée à Devonport.

Une fois rentrée à l’auberge je rencontre les autres backpackers qui m’invitent à un barbecue sur une plage privée. Pourquoi pas… Manon, une des filles, française, me prête son ordinateur. J’ai dans l’idée d’acheter mon billet de retour, d’avion bien sûr. Après deux heures à m’être énervée sur l’ordinateur je finis par laisser tomber, pas de billet, on verra plus tard. La plage où nous nous rendons est à 20 minutes en voiture de Devonport et se trouve sur une propriété immense mais immense, et il nous faut dix minutes en voiture à travers les dunes et le bush pour finalement arriver sur une plage complètement déserte. Premier bain de mer. Excellent barbecue.




Mercredi 23 février

8h Lever pour me rendre à pied toujours, de l’autre côté de la ville pour prendre un minibus direction Cradle Mountain (Cradle signifiant berceau en anglais, dû à la forme de la montagne). Coup de chance, j’ai droit à 50% de réduction car je suis étudianteJ. Les paysages sont magnifiques. On traverse des forêts d’eucalyptus et d’arbres blancs qui semblent morts. Le nombre d’animaux morts gisant sur le bitume est lui aussi impressionnant.

Il y a une seule auberge de jeunesse sur le site, pas vraiment le choix. 42$ la nuit, presque le double d’une auberge en général, mais on peut apprécier la différence, un vrai lit superposé qui ne grince pas, seulement quatre personnes par chambre, douches ultra-chaudes et cuisine super clean. Bonne nuit en perspective. J’arrive quand même à me perdre dans le camping. Puis je pars pour ma première randonnée, sans casquette et toute seule. L’entrée sur le parc national pour une journée coûte 16,50$. Une fois dans la navette qui navigue entre les différents sites de randonnée je me rend compte que j’ai oublié de manger et que je pars le ventre vide. Un tour de manège gratuit, je repars à zéro. Après un deuxième souvlaki  (décidément j’adore ça), je m’apprête à repartir. C’est alors que je croise une femme qui était dans le même minibus. Je l’aborde, on fait connaissance et finalement on part ensemble.

Auberge de jeunesse à Cradle Mountain


Plan de Cradle Mountain


Au cours de la randonnée j’apprends qu’elle s’appelle Miriam, a 37 ans, est allemande, et vit depuis six ans à Brisbane. Elle aime voyager toute seule et n’hésite pas à faire du stop. Comme quoi ça ne craint pas trop en Tasmanie. Après une heure de randonnée plutôt facile en montagne, on rencontre Bart, un hollandais de 24 ans, qui est lui aussi pour un court moment en Tasmanie, tout seul et a loué une voiture. Le lendemain il prévoit d’aller à Launceston. Je lui demande si je peux faire route avec lui. Ok. On se verra le lendemain.
Après avoir bien crapahuté, pris notre temps, plein de photos et admiré des paysages somptueux et un echinea, nous réalisons que nous nous sommes perdues et que nous allons dans la mauvaise direction. Heureusement le soleil est au rendez-vous. La dernière navette est supposée être à 20h15 le soir, d’après ce qu’un randonneur nous a dit, le soleil commence à se coucher et il nous faut rentrer au plus vite. Course… Mais on arrive trop tard. On voit la dernière navette partir, au loin et lorsqu’on arrive essoufflées sur le parking, il y a seulement un wallabi, et un homme en voiture qui se propose de nous raccompagner sur le site, qui est à environ deux heures de marche dans la nuit. On saute sur l’occasion.

Chemin de bois serpentant au sommet des montagnes, près de Dove Lake


Poilu non?

Miriam et moi, au soleil couchant, petite pause photo
avant la reprise de la course infernale


Repas frugal au camping avec Miriam et Bart qui nous a retrouvées. Un  gros possum noir à l’air menaçant traîne dans le camping et n’arrête pas de me suivre. J’ai peur. Je rentre en vitesse dans ma chambre. Gros dodo.


Jeudi 24 février

Tôt le matin on repart pour une autre randonnée de cinq heures environ. Cette fois ça grimpe bien, je trinque. Lac Lilla, Lac du Cratère et Marion’s lookout. J’aperçois mon premier wombat. Trop mignon…
18h30 Après une bonne pizza et une mini-sieste on décolle Bart et moi, direction Launceston. Conduite à droite bien sûr, mais il conduit plutôt pas mal. On atterrit dans un village où sont exposées des peintures murales. On assiste au coucher de soleil. Un plein d’essence et quelques courses plus tard, on finit par trouver une place en-dehors d’un camping et n’hésitons pas à squatter les douches, prétendant être du camping. Première nuit dans la voiture, allongés sur les sièges avant. Pas très confortable mais ça va.

Bart, le hollandais





Un p'tit plaisir de temps en temps...
On avait trop les crocs après une demi-journée d'ascension :)

Wombat trop occupé à brouter pour regarder l'objectif

La voiture! Une Hyundai blanche, ne me demandez pas quel modèle...

Fresque des forçats (convicts) à Sheffield, petit village perdu



Vendredi 25 février

Nous décidons de nous rendre à l’unique attraction de la ville : la Cataract Gorge. Sans le vouloir on a bien choisi notre endroit pour dormir, et les gorges sont à cinq minutes en voiture. Petit déjeuner  (céréales, salade de fruits et pain nutella/confiture) dans le parc, au soleil. Tout simplement délicieux. Nous marchons toute la journée, petites ballades et baignade dans le lac. On finit par trouver le seul endroit avec accès à Internet à Launceston : le Mc Café. J’achète mon billet d’avion pour le mardi 28. Le soir nous improvisons notre premier barbecue, saucisses, riz et sauce tandoori. Miam-miam. L’Australie est bien connue pour ses barbecues publics. A disposition de tous, il suffit d’arriver avec sa nourriture, appuyer sur un bouton durant 6 secondes et c’est dans la poche, le barbecue est chaud au bout de cinq minutes. C’est gratuit bien sûr. Les possums s’invitent. Nous prévoyons de rester sur place la nuit mais nous nous faisons éjecter par le gardien du site. Au même moment, surprise, je retombe nez-à-nez avec Adrien et Medhi, qui sont aussi installés avec leur van. La Tasmanie est petite… Nous finissons par boire quelques bières dans le parc puis retournons à l’endroit de la veille pour dormir.

P'tit-déj à Cataract Gorge...

Assez élaboré quand même:
salade de fruits, céréales, pain, confiture, nutella.
Miam-miam...


Cataract Gorge, avec au loin la piscine publique, gratuite, mais pas très appétissante.
On a préféré la traversée du lac.

Pont suspendu sur Cataract Gorge


Barbecue absolument delicious...



Samedi 26 février

Après un petit-déj costaud mais tardif, nous quittons Launceston et nous dirigeons vers la côte Est de la Tasmanie. Sur le chemin nous faisons un stop et rencontrons trois Tasmaniens, dont un forgeron. Ils sont très drôles mais je dois avouer que je comprends seulement un tiers de ce qui se dit, dû à leur fort accent. Bart lui est tout à fait à l’aise, mais bon il est hollandais… Nous faisons une courte escale à Mt William National Park mais le Mont William est si bas que c’est de la rigolade. Le lieu est désert et bien sûr nous nous abstenons de payons l’entrée. Un peu déçus, nous nous rendons sur la baie des feux (Bay of Fires). Lagons à perte de vue et une plage qui crisse, dû au sable blanc mélangé à de minuscules éclats de roches noires. Il se met à pleuvoir, première pluie depuis mon arrivée. Nous décidons de pousser plus loin, vers un lieu vraiment désert (Slope Reef). Pas de toilettes, pas de barbecue, rien du tout. Nous cuisinons dans une crique et passons la nuit dans la voiture, dans l’obscurité et le silence le plus total.

Les Tasmaniens, des vrai de vrai!!

:))




Petit coin de paradis et arrêt pour la nuit






Dimanche 26 février

Petit-déj sur la plage, plus exactement sur les rochers. Le pied… Puis nous passons trois à quatre heures sur la plage de sable blanc, déserte, à bronzer. Malheureusement l’eau est un peu froide, dans les 15°C je pense. Je bronze ultra-rapidement, Bart aussi, un peu, mais il est hollandais. J







La photo qui déchire tout!! Observez les tablettes de chocolat.
Bart dit qu'elle a l'air trafiquée! Je suis d'accord.



Nous larguons les amarres et faisons escale à St-Helens pour manger. Pique-nique. Puis nous stationnons a voiture à l’entrée du parc national (Coles Bay). Nous tentons d’utiliser les douches du seul camping de la baie mais nous nous faisons virer par le propriétaire qui menace d’appeler la police. Ok on se tire. Tant pis, pas de chance, on en rêvait tant de cette douche, après deux jours sans se laver. On passe la nuit dans un lieu encore plus isolé que la nuit précédente (Friendly Beaches).

Mural de St-Helens



Lundi 27 février

Randonnées toute la journée. Wineglass Bay Walk, Hazards Beach : environ quatre heures. Puis la cerise sur le gâteau : le Mt Amos. J’ai souffert. Mon père dit toujours que mon cœur n’accélère jamais, j’ai beaucoup pensé à lui à ce moment-là et je me suis dit qu’il serait content de me voir escalader sans m’arrêter, avec mon cœur à trois cent à l’heure. Bien failli crever. Mais après ça je peux tout faire. Puis direction Port Arthur (au Sud de l’île) en fin d’après-midi. La route est longue et la nuit tombe vite. Nous heurtons un possum de plein fouet. On aurait dit qu’il avait envie de mourir et qu’il se dirigeait sciemment vers nous. Impossible de l’éviter. On en a cauchemardé. Mission impossible : nous réussissons à nous introduire dans un camping désert et à enfin prendre la douche tant espérée.

Wineglass Bay

Hazards Beach



Au pied du Mont Amos

Ouille ça dérape...

Superbe panorama depuis le sommet du Mont Amos


Toma chango tu banana!!



Dernier repas nocturne près de la plage


Mardi 28 février

Il a plu toute la nuit. Et il pleut encore. Et il va pleuvoir encore les prochaines heures et sûrement les prochains jours. On galère pour manger et décider ce que l’on va faire de notre dernière journée ensemble. Port Arthur a l’air bien mais cher (30$ l’entrée) et il pleut trop pour en profiter. Finalement Bart me dépose à l’aéroport et on se dit adieu, après avoir réglé nos comptes (partagé l’essence et la nourriture). Je poireaute quelques heures mais cela me permet de commencer enfin le bouquin que je trimballe avec moi depuis 6 mois ; Millenium II, The Girl Who Played With Fire. Bart continue sa route vers un autre parc national. Le vol se déroule sans heurt (seulement 1h15) et Adam m’attends à l’arrivée et me ramène chez Alberto.

Bébé echidnea

Dernière photo de Bart à l'aéroport



Mon séjour en Tasmanie aura été bref mais je pense qu’il est plus sage de chercher un travail sur Melbourne, comme serveuse ou vendeuse, ou bien carrément dans un vignoble, les vendanges commençant cette semaine. J’ai été impressionnée par la beauté des paysages et le respect des lieux, pas un seul papier qui traîne dans les parcs nationaux. Pour ce qui est du diable, je n’ai pas eu l’occasion d’en voir, car il est difficile de les trouver à l’état sauvage et je ne voulais pas les voir dans un parc.


Mercredi 2 mars

Aujourd’hui j’ai acheté une clé 3G qui va me permettre d’avoir accès à Internet en permanence (du moins dans les grandes villes) et d’écrire un peu plus souvent.   

Alberto et le tablier que je lui ai offert: "King of  ... "
qui veut dire en anglais-grec Roi du Barbecue

Victoria, la chienne d'Alberto.
La pauvre a eu une enfance malheureuse et elle a une patte cassée.
Elle est encore jeune mais on dirait déjà une petite vieille. Très attachante.



See you !



3 commentaires:

  1. Ma chere Laura, il parait a ce que tu profites pleinement de ton sejour en OZ! Que je suis content pour toi! C'etait un vrai regal de lire tes aventures et d'ainsi participer un peu a tout ce qui t'arrive. L'aventurisme est bien un trait personnel a toi on dirait, ha ha! Qu'est-ce que j'aurais aime te voir monter le Mount Amos. La langue sortie de ta bouche, la pompe a 100 a l'heure et la transpiration sur le front ;D Trop genial, au moins tu pourras dire maintenant que t'as tout vu (et fait?). Je suis super content que tu trouves le temps d'actualiser ton blog si regulierement. Saches que je suis ton lecteur le plus fidele :) Continues ainsi et profites surtout un max! Bon courage pour la recherche d'emploi ma poule! Je te fais des bisous

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  2. Merci mon chou, ça fait plaisir de lire ton p'tit mot. Jajaja tu me fais rire à inventer des mots: j'aime celui-là: aventurisme. Très classe. Tu as raison pour le Mount Amos, j'étais effectivement tel que tu l'as décrit. Mais j'essayais de faire bonne figure et je ne me suis arrêtée que deux fois sur une ascension d'une heure. Enfin c'est dans ces moments-là que tu te sens vraiment vivant. Ca fait du bien sometimes. Pour ma recherche d'emploi il faut que je m'y mette sérieusement, juste une question de volonté. T'inquiète ça va aller ;) Merci pour les encouragements, je serai à la hauteur :)
    Gros bisous xxx
    A+!!!

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  3. borrachita, no sabia que tenias un Blog, porque no me dijiste??? no he podido leer nada y no creo poder, hasta que regrese a Mexico, pero por lo pronto, ya se que existe y espero que estes muy bien, te quiero

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